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batouran
Jardinier(e) connaisseur
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mardi 19 avril 2016 à 14:02
bonjour il faut les faire secher avant utilisation au moins une annee
l amour est dans le parc , le c½ur, le partage
sujet a voir ,,,MON CADRE ET ENVIRONNEMENT ,,, par batouran,,,, photos de fleurs de mon parc , au cours du temps
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bourru
Grand(e) jardinier(e)
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mercredi 20 avril 2016 à 11:28
Quelle mémoire ! Marie Christine.. C'était il y a si longtemps, et peut-être même, ailleurs. Le passage rapide de flamme est effectivement un moyen efficace de faire sortir un vernis naturel. Mais ce n'est réellement efficace que si appliqué sur un bambou mûr c'est à dire de quatre ou cinq ans de pousse. Plus jeunes? Ils ne sont pas résistants.. Plus vieux, ils deviennent vite cassants. Or ce n'est pas "au coup d'oeil" que l'on mesure l'âge d'une tige. Ni le diamètre ni la couleur ne sont discriminants... Il faut avoir marqué, chaque année, chacune des jeunes pousses, d'un signe distinctif particulier. Quatre bombes de couleurs différentes. Juste une petite marque suffit. Et l'on récolte la quatrième année. Je suis flatté que tu appelles ça la méthode bourru, mais je n'en suis pas l'inventeur. C'est celle des Crouzet, les propriétaires de la plus grande bambouseraie d'Europe : Prafrance. Pas loin de chez moi, à Anduze, dans le Gard.
Passer pour un idiot, aux yeux des imbéciles, est un plaisir de fin gourmet... Georges CourtelineMon Blog Des fiches sérieuses sur les fruitiers, des coups de gueules polémiques, et quelques poèmes farfelus.
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bourru
Grand(e) jardinier(e)
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mercredi 20 avril 2016 à 20:42
Je n'ai jamais essayé la pose de vernis de synthèse. Je me suis contenté de faire exsuder par la flamme (rapide) le vernis naturel du bambou. Ça marche assez bien. Une pergola soutenant la masse très lourde de vigoureux actinidias (environ 150Kg l'an) tient de façon satisfaisante depuis dix ans. Mais ne rêvons pas, le bois des phyllostachys n'est pas du chêne. Ni un produit durable (comme disent ces gens qui vantent sans arrêt le dos du lapin. ) A l'horizontale, exposés à la pluie et aux UV, et chose encore plus redoutable, aux dépôts de pollen de pin, les tiges (des chaumes en réalité) voient leur surface s'altérer et grisailler en trois ou quatre ans. NB- Le pollen de pin, quand il s'agglomère, constitue un milieu sur lequel se développe une variante de fumagine, analogue par ses effets, à celle que génèrent les miellats de pucerons... Édité 1 fois - Dernière édition: 20/04/2016 à 20:44 Par bourru.
Passer pour un idiot, aux yeux des imbéciles, est un plaisir de fin gourmet... Georges CourtelineMon Blog Des fiches sérieuses sur les fruitiers, des coups de gueules polémiques, et quelques poèmes farfelus.
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