Bonsoir Laura,
Ce n'est pas facile en quelques mots de faire passer une sensation, une expérience.
Sur le végétal et l'alimentaire, nous vivons dans un monde de requins insoupçonnable, sans exagérer : c'est la guerre.
Les jardineries si jolies au printemps sont gérées par des financiers qui ne voient que l'argent et uniquement cela. Les centrales sont prêtes à vendre le pire fléau du moment que cela rapporte. Maintenant imagine ceux qui inventent ces produits. Ils ne vont pas nourrir avec le bio. Bien au contraire, ce sont eux qui ont l'argent maintenant et qui tirent les ficelles.
Le marketing bio est orchestrer par les gros faiseurs.
La question est : quel intérêt ils ont ?
Sachant qu'il n'y a que l'argent qui conte pour eux... Va savoir la surprise qu'ils nous réservent.
OGM "bio" à tout va, pesticide bio hors de prix, nouvelle norme de semences ...

J’espère que le remède bio, ne soit pas pire que le mal chimique.





Réponse ci-dessus posté le lundi 09 mai 2016 : 20:53

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C'est encore moa...
Promis j’arrête de parler sur le bio !

Je trouve ton site bien conçu et intéressant.
Mon idée pour le faire évoluer, (et de sortir du lot) serait de s'appuyer sur des expériences concrètes.
Et surtout ne pas reprendre la littérature. (par exemple, ne jamais semer de l'estragon car c'est de l'herbe à vache au niveau gout mais planter de l'estragon Français issu de bouture ou d'éclat de motte.)
Je pense aussi à un suivi photo de graine à graine, du semi au ramassage des graines.