Voici l'adresse d'un site qui raconte les essais et conclusions d'un heureux jardinier possédant des bambous ayant tracé.
Lien ICI De ma propre expérience,
*Plutôt 70 cms de profondeur pour la barrière anti-rhizôme. Les bambous ont des têtes chercheuses qui montent ou qui descendent jusqu'à ce qu'ils trouvent la sortie. Derrière des barreaux, ils sont comme des lions en cage. Et ce sont les rois de l'évasion!
*Laisser dépasser de 5 cms au-dessus du sol en rigidifiant la barrière avec une planche côté extérieur afin qu'elle ne s’aplatisse pas. Ainsi quand ils l'enjamberont, cela sera facile de les trouver. Les surveiller chaque printemps. Même avec la barrière.
*Trouver le moyen, de rendre étanche la jointure entre les raccords de la barrière. Parce que eux trouvent la fente.
* Incliner la barrière anti-rhyzôme vers l'extérieur de 15° leur évite de tourner en rond comme des fous pour s'échapper. La sortie se fait vers le haut au grand air en donnant naissance à une nouvelle canne.
* Les engraisser correctement, cela leur évite de chercher dans l'assiette du voisin, en ayant fait le mur, le repas qu'ils ne trouvent pas chez eux.
Après avoir creusé le jardin sur des mètres, renforcé la barrière, recreusé, crains de perdre le rhododendron qui avait le malheur d'être installé sur la trajectoire du fugueur, j'opte pour un pied de bambous cespiteux. Je pense que ce sera plus reposant comme co-habitation.
Et le même bonheur de ces délicieuses feuilles vertes bruissant dans le vent de l'hiver.