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batouran Jardinier(e) connaisseur
dimanche 2 juillet 2017 à 14:19
coin de détente , de rêve;;lecture etc. pourquoi ,,un lien ou on vient se poser ,et lire calmement ,, loin de tout ,, entre deux nuages L'amitié est une preuve de confiance, Où naissent nos plus belles confidences, À l'ami des secrets ainsi dévoilés, De peines enfouies restées inavouées. Une épaule amie sur laquelle se reposent, Nos peines, nos chagrins qui explosent, Partager ensemble nos joies, nos douleurs, Cet arc-en-ciel de toutes les couleurs. Un ami se doit d'être loyal, fidèle, Au fil du temps, au cours des ans, Notre amitié n'en sera que plus belle, Comme un jardin secret fleurissant. L'amitié se dit sincère, de toute confiance, Sans nul désir de reconnaissance. Douce écoute réchauffant un coeur, D'une âme en détresse qui conte malheur. L'amitié raisonne nos idées folles, Et l'ami vient ainsi vous conseiller, De la sagesse dans ses paroles, Et ce désir noble de vous aider. Maxalexis
Édité 2 fois - Dernière édition: 02/07/2017 à 14:23 Par batouran.
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batouran Jardinier(e) connaisseur
mercredi 5 juillet 2017 à 11:46
Tous les 10 ans, d'anciens copains se retrouvent pour passer une bonne soirée ensemble. > > > Au moment de fêter leurs 40 ans, ils se retrouvent et se demandent où passer cette soirée. > > > Au début ils n'arrivent pas à se mettre d' accord sur le lieu mais l'un d'eux propose : > > > "Allons au restaurant « Chez Pilou », la serveuse est vraiment jolie et porte toujours un chemisier avec un décolleté bien plongeant." > > > Aussitôt dit, aussitôt fait. > > > > > > 10 ans plus tard, pour leurs 50 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent où passer la soirée mais l'un d'eux propose : > > > "Allons au restaurant « Chez Pilou », on y mange très bien et la carte des vins est excellente." > > > Aussitôt dit, aussitôt fait. > > > > > > 10 ans plus tard, quand ils fêtent leurs 60 ans, ils se retrouvent à nouveau et se demandent comme d'habitude où passer la soirée et l'un d'eux propose: > > > "Allons au restaurant « Chez Pilou», c'est calme et non-fumeur." > > > Aussitôt dit, aussitôt fait. > > > > > > 10 ans plus tard, pour leurs 70 ans donc, ils se retrouvent et se demandent où passer la soirée et l'un d'eux propose : > > > "Allons au restaurant « Chez Pilou », c'est bien adapté aux fauteuils roulants et il y a un ascenseur." Aussitôt dit, aussitôt fait. > > > > > > Dernièrement, ils fêtaient leurs 80 ans et se demandaient où aller. L'un d'eux proposa : > > > "Allons au restaurant « Chez Pilou ». > > > Et tous de répliquer : - "Bonne idée, nous n'y sommes jamais allés !" > > > > > > > > > Ne riez pas, c'est peut-être nous bientôt > > > Une petite dernière pour la route : > > > Réponse ci-dessus postée le dimanche 02 juillet 2017 : 16:07 Aux amis d'enfance. Recueil : La part du rêve (1863) Le temps fuit et la vie est brève, Cependant trop riche en douleurs. Vite, avant qu'elle ne s'achève Pour nos amis cueillons des fleurs. D'autres à leur lèvre altérée, Présenteront vinaigre et fiel ; Composons à nos amis avec du miel Une boisson pure et dorée. Oui, quand on les attriste ailleurs, Efforçons-nous de leur sourire ; Qu'auprès de nous nos amis puissent dire Qu'ils sont plus joyeux et meilleurs. Henri-Frédéric Amiel Cadeau immuable de cette vie que tu m'offres, Je te remercie pour le temps, que tu me donnes Ah ! Comme je voudrais entasser dans un coffre Tous les mots évoqués, qui dans ma tête résonnent. Ta main tendue, chaque fois que je te la demande Est un geste rempli de tendresse, qui n'attend rien Parfois même, tu agis avant que je ne quémande Ce tracé, que tu créés afin que je vois mon chemin. Ton écoute réelle, que je sais douce est merveilleuse Ta présence réchauffe mon coeur laminé ou trop triste Ton regard me rappelle, que je ne suis pas hideuse Tu m'élèves souvent, en me lisant, au rang d'artiste. Ton esprit, source de cette confiance nouvelle en moi M'aide à comprendre ce passage en ce monde, sombre Tu me distilles avec une telle aisance, une part de joie Que plus jamais, mon visage ne reste dans la pénombre. Ton âme libre qui est en symbiose totale, avec la mienne Permet la montée nécessaire, pour embellir ce parcours Effaçant les bribes gravées en elle, de toutes mes peines En fait, je sais qu'il n'y a qu'un pas entre l'amitié et l'amour. Michèle De Guise. Réponse ci-dessus postée le lundi 03 juillet 2017 : 09:04 https://www.youtube.com/watch?v=XWo3gckZmuA Réponse ci-dessus postée le lundi 03 juillet 2017 : 14:10 Nous avions dix ans, et déjà ses sentiments, De petits garçons se regardant tendrement, Fréquentant les mêmes endroits, la même école. Nous avions dix ans, et déjà la même auréole. Nous avions quinze ans, et déjà cinq ans d'amitié, Nos liens se sont tissés au fur et à mesure des années. Nous avions quinze ans, tels de jeunes adolescents, Partageant le bon, le meilleur, et tous nos tourments. Nous avions vingt ans, et déjà dix ans de complicité Tels de jeunes adultes voulant tout révolutionner. Nous avions vingt ans et toujours aussi insouciants Des dangers de la vie se présentant à chaque tournant. Nous avions vingt-cinq ans, et quinze ans de sincérité. D'une amitié rare et sacrée sans la moindre infidélité. De regards confondus, de promesses toujours tenues, Nous avions vingt-cinq ans et quinze ans parcouru. Nous avions trente ans, et vingt ans d'une si belle amitié Qui s'est arrêtée au chemin d'une route ou ta vie basculait. Aujourd'hui j'ai quarante ans et tu me manques tant ! Des années à venir et des dix ans que l'on nous a volé. MaxalexisRéponse ci-dessus postée le mardi 04 juillet 2017 : 13:46 La vie réserve parfois de bien douces surprises Met sur votre chemin des êtres d'exception Qui en un simple instant font fondre nos banquises Peuplant nos intérieurs d'intenses affections. Rencontres de hasard, mais pourtant si précieuses, Les heures qui défilent ressemblent à des secondes, Les échanges féconds font aurores radieuses Balluchon de bonheur pour âme vagabonde. Savourer chaque instant passé à leurs côtés Pour remplir nos mémoires de tendres souvenirs Nos lendemains pluvieux se nappent de beauté Après avoir été pouvoir à nouveau redevenir. Remercier tous les cieux pour cette providence Qui fait vibrer nos coeurs au rythme du partage Donner chacun son tour dans une même cadence Fusion d'intimités pour le plus pur alliage. Aborder nos matins de joie surnaturelle Avec l'espoir secret de tendres retrouvailles Traverser coeur à coeur sublimes passerelles Et trouver dans leurs yeux nos perles de rocaille. Philippe Doumergues.
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batouran Jardinier(e) connaisseur
lundi 10 juillet 2017 à 10:10
Je te vis, ma douce amie, je sentis dans mon âme De la tendre amitié naître la douce flamme ; Ton c½ur comprit le mien, tu comblas mes v½ux ; Sous son paisible abri nous rassemblant tous deux, Le même toit couvrit notre amitié fidèle, Et depuis protège de nos c½urs l'union mutuelle. Ton savoir, ta douceur, ton facile entretien, Ton esprit plus brillant, ton âge égal au mien, De tes soins attentifs l'aimable prévenance, D'un avenir commun la commune espérance, Tout enfin me charme : et mon c½ur attendri Remercie chaque jour les Dieux de t'avoir pour amie. Ah ! préservons, protégeons cette union si tendre ! Sur le même torrent, que nous devons descendre, Contre les mêmes flots prompts à nous réunir, Nous serons plus gaiement portés vers l'avenir ; Oui ! crois-moi, l'amitié, ce doux présent des Dieux, Est plus chère à mon c½ur qu'un laurier glorieux. Adolphe Quetelet.Réponse ci-dessus postée le jeudi 06 juillet 2017 : 17:43 Recueil : Varia (1869) À mesure que ma carrière Tourne et penche vers le déclin, Tant d'amis restent en arrière Ou s'écartent de mon chemin ; Dans la mienne toujours pressées Avec la même affection Tant de mains s'éloignent glacées Et répondent par l'abandon ; Lorsque, atteint d'une sombre flamme, Sous mes tristesses je fléchit, Je vois se fermer à mon âme Tant de c½urs sépulcres blanchis, Que, pour moi, retrouver si fraîche Ta belle amitié de quinze ans, Après la saison qui dessèche, C'est la floraison du printemps ; C'est un trésor sous les décombres, Une source dans les déserts, Un rayon à travers les ombres ; C'est la perle au gouffre des mers ! De la force que tu m'envoies Merci ! puisque, ensemble, ici-bas, Nous restons dans les nobles voies, Avançons-y du même pas. Tu n'est point de ceux qu'effarouche La Vérité fille du Ciel ; Tu sais qu'elle n'a, sur la bouche, Ni dans l'âme, jamais de fiel. Rien entre nous, geste ou parole, N'est amer, perfide ou moqueur ; Nous différons par le symbole ; Nous nous ressemblons par le c½ur. Chacun explique sa croyance Et dans sa loi reste affermi, Mais toujours ce que l'un encense Pour l'autre est l'autel d'un ami. Indulgent à ce qui t'effleure, L'erreur d'un mot ou d'un moment Ne te fait pas, en un quart d'heure, Oublier un long dévouement. Tu n'as d'oubli que pour toi-même ; Ta poétique affection Transfigure tout ce qu'elle aime Et le revêt d'illusion. Esprit changeant que le bien lasse, Tu n'immoles pas sans pitié Au premier ver-luisant qui passe L'ancienne et modeste amitié. Tu ne vas pas ouvrant l'oreille Au bruit menteur que font en vain Ces faux grands hommes de la veille Qui n'auront pas de lendemain. Fureurs d'envie ou cris de haine Viennent expirer devant toi ; Rien, quoi qu'on dise ou qu'il advienne, Rien ne peut ébranler ta foi ! Puisque, surmontant nos faiblesses, Triomphant de nos passions, Nous secourant dans nos détresses Et domptant nos ambitions, En ce temps où rien n'est solide, Nous avons laissé, sans trembler, Autour de nous, sombre et rapide, Le flot des discordes rouler, Eprouvés par tant de tempête, Nous pouvons, au bout du chemin, Sans craindre que rien nous arrête, Arriver la main dans la main. Au passé l'avenir s'enchaîne ; Espérons-y d'heureux moments, Car Dieu qui réprouve la haine, Bénit toujours les c½urs aimants ! Jules Canonge. Réponse ci-dessus postée le vendredi 07 juillet 2017 : 11:05 L'Amour et l'Amitié. Recueil : Poésies genevoises (1830) Un soir on frappait à ma porte. Brusquement je fus éveillé. — Qui peut donc agir de la sorte : C'étaient l'Amour et l'Amitié. — Quoi ! c'est vous, jeunesse incivile ! Pourquoi donc faire un tel fracas ? — En pénétrant dans votre asile, Nous nous disputions pour le pas. Entre nous deux soyez arbitre, Nous ne pourrions pas mieux choisir. — Moi, dit l'Amour, voici mon titre : Je suis le père du plaisir. Pour balancer cet avantage, L'Amitié dit avec douceur : Si le plaisir est votre ouvrage, C'est à moi qu'on doit le bonheur. D'un magistrat en audience Je prends alors la gravité : — Donner à l'un la préséance Serait trahir la vérité ; Tous deux aux mortels favorables, Cessez de grâce vos débats : Vous devez être inséparables, Entrez chez moi du même pas. L'Amour, d'une audace effrénée, Envahit tout mon logement, Sans égard pour sa s½ur aînée. — Halte-là ! petit garnement ! Quand chez moi le sort vous rassemble. Jouissez de tout par moitié : Un sage doit savoir ensemble Loger l'Amour et l'Amitié. Jean-Antoine Thomeguex. Réponse ci-dessus postée le samedi 08 juillet 2017 : 11:13 Il est un sentiment bien plus beau que l'amour Un sentiment plus pur, sentiment plus honnête, Une source de joie que jamais rien n'arrête ; Un sentiment qui ne joue pas de mauvais tour. L'amitié est telle qu'un soleil des beaux jours, Gratuite et chaleureuse, elle apporte la fête ; Ce n'est pas un tissu à nombreuses facettes Cousu d'hypocrisie ; c'est un don sans retour. Un véritable ami est toujours disponible Au cours des bons moments et au cours des pénibles ; C'est une mine d'or qui brille de bonheur. Être avec mes amis est ma plus grande joie ; Et même s'ils ne sont toujours auprès de moi, Ils sont tous à jamais bien gravés dans mon c½ur. Alexandre Marrot. Réponse ci-dessus postée le dimanche 09 juillet 2017 : 09:07
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SCULTURE DE PAILLES Réponse ci-dessus postée le dimanche 09 juillet 2017 : 09:40
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A VOIR SANS MODERATIONRéponse ci-dessus postée le dimanche 09 juillet 2017 : 09:53
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[urlhttps://www.youtube.com/watch?v=NCMwqRqmcSA ][/url]ART DE LA RUERéponse ci-dessus postée le dimanche 09 juillet 2017 : 11:34 L'amitié est le vrai bien du sage. Recueil : Poésies et romances (1782) L'amitié seule est le vrai bien du sage, L'amour trompeur, Par l'ombre du bonheur Dupe souvent le coeur : L'amant le moins volage Dit aux pieds de l'Iris, Dont ses yeux sont épris, L'amitié seule est le vrai bien du sage. Souvent l'amour nous conduit au naufrage Un calme heureux, D'abord comble nos v½ux : Mais bientôt dans les cieux Se forme un noir orage : Le plaisir disparaît, Arrive le regret ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Que l'amitié soit donc notre partage ; Dans son lien Notre c½ur sera bien ; Nous ne craindrons plus rien : Par un rare assemblage Nous verrons le plaisir Naître au sein du désir : L'amitié seule est le vrai bien du sage. L'amour est fait pour le printemps de l'âge C'est une fleur, Mais qui perd sa couleur, Dès qu'écartant l'erreur La raison l'envisage ; Le c½ur longtemps dupé, Reconnaît qu'il est trompé ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. L'amitié donne un paisible ombrage Toujours en paix Sous son feuillage épais, De l'aquilon jamais On ne craint le ravage : Ses rameaux toujours verts Affrontent les hivers ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Que l'amitié chez nous soit l'apanage Du sentiment. Quand le coeur est constant, Son lustre est plus brillant, Rien n'en ternit l'image : Aucun masque imposteur Ne rend son air trompeur ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Jean-Louis Bridel.
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batouran Jardinier(e) connaisseur
mercredi 12 juillet 2017 à 20:47
bonheur éternel. Recueil : Poésie d'amour (200 . Jusqu'à la fin des temps, je te caresserais De mes dix doigts pressés de conquérir ta peau Tandis que mes lèvres sèmeront à gogo De tes pieds à ton front, des baisers indolents. Et quand au passage, je verrais un frisson S'envoler prestement de la zone interdite, Je ferais un virage, j'augmenterais le son Pour le voir s'agrandir, augmenter son orbite. Quand tu auras franchi le seuil du paradis, Quand la vague accourue du fond des profondeurs T'emportera au loin sur la plage, éblouie, Quand tu auras goûté au nectar du bonheur, Je te caresserais jusqu'à la fin des temps De mon corps, de mon âme avec tant de passion Que tu me supplieras dans un ultime élan De te rejoindre pour parfaire notre union ! Philippe BratRéponse ci-dessus postée le mardi 11 juillet 2017 : 09:09 https://www.youtube.com/watch?v=dqlatXOOOYA a regarder sans moderation SCULPTURE SUR SABLE Édité 1 fois - Dernière édition: 14/07/2017 à 08:42 Par batouran.
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batouran Jardinier(e) connaisseur
jeudi 13 juillet 2017 à 21:30
Le bonheur et l'amour. Recueil : Poésie d'amour (2006) Allongé sous le pin parasol Les yeux fermés, il rêve. Un parfum de vanille Embaumant l'air soudain Le sort de sa rêverie, Mais il ne bouge pas, Il sait que c'est elle, Il l'attend le c½ur battant... Il sent sa main caressant ses cheveux, Descendant doucement sur sa nuque, Dessinant le contour de son épaule. Derrière ses paupières closes Il s'enivre de son odeur, Suit troublé et ravi Le chemin de ses doigts douceur Qui, mutins, s'aventurent Dans l'échancrure de la chemise, Il sent la délicieuse brûlure De sa douce main sur sa peau. Elle pose un tendre bisou Délicatement sur sa joue, Continue le voyage Jusqu'à se perdre dans son cou, Murmurant des mots d'amour Pour le charmer plus encore... L'instant est si doux, Si troublant... il sourit. Elle capture ce sourire Dans un baiser volé, Pose amoureusement Sa tête sur son torse... Ses bras se referment sur elle, Et tous deux restent là , Silencieux, dans ce matin d'été, Savourant simplement le bonheur D'être l'un près de l'autre ! Véronique Audelon.Réponse ci-dessus postée le jeudi 13 juillet 2017 : 11:35
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a regarde avec des grands yeux
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Ψ npk60480 Administrateur Jardinier(e) forumeur(e)
jeudi 13 juillet 2017 à 23:02
Bonjour Jean-Claude Tu auras sans doute remarqué que j'ai mis les vidéos directement lisible dans le post. S'il y en a d'autres dans d'autres posts me les signaler par MP.
batouran Jardinier(e) connaisseur
jeudi 3 janvier 2019 à 12:08
Le bonheur retrouvé. Recueil : Poésies (2002) Sur l'argent de la mer balayée par le vent, Une inspiration aussi douce qu'une caresse, Ondoie un oiseau au plumage flamboyant, Tel le brasier d'un c½ur attisé par l'ivresse Berçant ses émois en vagues de sentiments. Plongé dans l'immensité d'une âme inconnue Pour trouver, dans ce miroir, l'émerveillement De son regard d'enfant qu'il croyait perdu, Il y aperçoit une source lumineuse D'où jaillit une pluie d'étoiles cristallines, Mille douceurs, mille lumières merveilleuses Enveloppant de magie ses nuits opalines Trop longtemps traversées le c½ur en bandoulière. Sur des rivages où n'existe pas le partage, Il rêve d'une fée aux doigts de dentellière Brodant des soleils sur sa vie et son visage, Enlaçant d'or l'éphéméride de ses jours Et tissant de passion l'horloge de ses nuits. Il connaît la solitude et tous ses contours Et ses sanglots se mêlent aux larmes de pluie Quand la tristesse barbouille en gris l'horizon. Mais, ce matin, il a trouvé son âme s½ur Et dans le ciel de ses yeux se lit l'émotion. Il déploie ses ailes et vole vers son bonheur. Michèle BrodowiczRéponse ci-dessus postée le vendredi 14 juillet 2017 : 09:15 sublime émouvant la complicité
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du beau travail réaliséRéponse ci-dessus postée le vendredi 14 juillet 2017 : 18:27 http://clochers.org/carte_accueil_active.htm clochers et eglise de france cliquez sur le departement et le villageRéponse ci-dessus postée le samedi 15 juillet 2017 : 09:23
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je vais devoir changer mes lunettesRéponse ci-dessus postée le samedi 15 juillet 2017 : 11:39 Près d'une mère. Recueil : Poésies (1869) Près d'une Mère, oh ! c'est le doux bonheur Qu'on goûte en paix dans cette triste vie ; À ses côtés un pauvre enfant oublie Sa pauvreté, sa peine et son malheur ; On se confie à sa voix douce et chère, À son amour, à ses soins, à ses v½ux : Toujours, toujours on vit calme et joyeux Près de sa Mère. Près d'une Mère, oh ! c'est le doux plaisir Que sur la terre un c½ur aimant éprouve ; Dans le malheur c'est elle qui nous trouve Ces mots charmants qui parlent d'avenir ! Quand à Marie elle fait sa prière, Elle redit le nom de son enfant : Toujours, toujours on a le c½ur content Près de sa Mère. Près d'une mère, oh ! c'est le plus grand bien ! Dans la douleur sa voix est un dictame, Elle adoucit tous les maux de notre âme ; Dans la misère, oh ! c'est un doux soutien, Son regard chasse une pensée amère, Comme à sa voix le bonheur est nouveau Toujours, toujours l'avenir paraît beau Près de sa Mère. Jean Lacou. Réponse ci-dessus postée le samedi 15 juillet 2017 : 12:07 Tristesse. Recueil : Poésies de l'âme (1835) Ô Toi qui m'éblouis par ta lueur trompeuse ! Aurore de mes jours, aurore radieuse ! Songe de l'avenir ! un instant t'a détruit. Jeune encor, du malheur j'ai vu poindre la nuit ; Sur mon c½ur déchiré j'ai senti ses atteintes Et de sa main de fer les poignantes étreintes. Et j'ai vécu ! d'un ½il terni par les douleurs, Sur le temps qui n'est plus, j'ai répandu des pleurs. Ah ! puis-je sans gémir reporter ma pensée Sur ma jeunesse, hélas ! déjà presque effacée ? Sur ces jours où le sort, couvert d'un voile épais, Me laissa m'enivrer d'espérance et de paix ; Où, rêvant un bonheur que le Ciel nous dénie, Fraîche, je m'asseyais au festin de la vie ? Mais de ces jours perdus, à peine un souvenir Sépare le passé de mon pâle avenir ! Ils ont passé pour moi comme un souffle d'orage, Comme le vent du soir glissant sous le feuillage ; Et le temps, effeuillant ces fleurs de mon printemps, D'un lugubre rideau charge mes jeunes ans. Exister et souffrir, voilà donc mon partage ! Mes aïeux m'ont légué ce fatal héritage. Souffrir ! tout l'homme est là . J'abjure enfin l'erreur Qui dans ce lieu d'exil me montrait le bonheur. Hélas ! je marche seule en ce désert immense, Sur cet obscur chemin lentement je m'avance, Et pour guider mes pas dans ces sombres détours, De la main que j'aimai je n'ai plus le secours. Celle dont l'amitié consola ma tristesse, Celle qui me soutint au jour de la détresse, Qui d'un c½ur agité savait charmer les maux, Précéda son amie au séjour des tombeaux. En vain je la pleurai, de douleur étouffée ; Sa cendre sous mes pleurs ne s'est pas réchauffée. Ô mort ! à l'amitié quand tu vins la ravir, Pourquoi me laissas-tu son sacré souvenir ? Hélas ! ce souvenir de mon bonheur d'enfance Ne saurait de mon c½ur remplir le vide immense ; Et ce c½ur, accablé par le poids des douleurs, Fixe sur le tombeau des yeux mouillés de pleurs. La Foi vient m'affermir quand la peine m'accable ; Elle tend au malheur son flambeau secourable, Et, sublime échelon entre l'homme et le ciel, À son ½il ébloui montre un jour éternel. Aux feux de ce flambeau, je retrouve la vie, Non point sujette au temps, à la mort asservie, Mais dans le sein de Dieu s'enivrant à jamais De ce bonheur profond, de cette immense paix, Où le divin amour à nos c½urs se déploie Et change nos douleurs en éternelle joie. Eulalie Favier.Réponse ci-dessus postée le dimanche 16 juillet 2017 : 12:01
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UN PEU DE NOSTALGIE Réponse ci-dessus postée le dimanche 16 juillet 2017 : 13:34
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Réponse ci-dessus postée le dimanche 16 juillet 2017 : 13:42 Rêverie dans un bois. Recueil : Poésies diverses (1842) Triste et seul, on se plaît aux chants mélancoliques ; On s'assied, pour rêver, sous le saule pleureur ; On gémit sur soi-même, et les chants énergiques Ne trouvent plus d'échos dans l'âme du rêveur. Moi, lorsque le regret de mes jeunes années, M'arrache un long soupir, je voudrais, mais en vain, Rendre un peu de fraîcheur à tant de fleurs fanées, À tant de sentiments qui dorment dans mon sein. Adieu donc mon enfance et mes jours d'allégresse ! Au foyer paternel je ne vais plus m'asseoir, Je ne suis plus l'enfant qu'une mère caresse, Plus de douces chansons à mon chevet le soir ; Plus de fraîches amours, plus de larmes de joie ; Plus de transports de l'âme à son premier éveil. Jeunesse, adieu !.... Le temps a dévoré sa proie ; Plus de vaste horizon ; mais des cieux sans soleil ! Que me font désormais ces champs et ces vallées, Ce bois que j'aimais tant vers le déclin du jour ! Quand nous marchions à deux dans ses sombres allées, Où nous causions longtemps d'avenir et d'amour. Que m'importent ces bois où le chêne splendide Voit tomber, sans regret, son feuillage jauni ! Mai lui rend la chaleur, puis la terre est humide, Et la sève remonte à son front dégarni. Oh ! silence !... rougis de pleurer sur toi-même, De mêler tes accents à ces lugubres voix Qui chantent la douleur, exhalent le blasphème : C½ur plaintif que le siècle entendit tant de fois. Auguste RamusRéponse ci-dessus postée le mardi 18 juillet 2017 : 07:15 Adieu. Recueil : Ballades et romances (1875) Charmante Alicia, puisque je dois partir Prenez encor ces vers pour dernier souvenir. Daignez, dans votre album, leur trouver une place, Afin que quelque jour votre regard distrait Me donne, en les voyant, un instant de regret. « Le temps, vous direz-vous alors, le temps efface Bien des affections, sans en laisser de trace ; Celui-là qui m'aimait d'un véritable amour, Sans doute en aime une autre, et l'encense à son tour. » Peut-être, alors, peut-être une triste pensée, Vous viendra, pour avoir cet amour repoussé ; Peut-être, en ce temps-là , saurez-vous mieux le prix De cette affection, qui n'a que vos mépris. Moi, cependant, toujours à mon culte fidèle, Je songerai souvent combien vous étiez belle ; Combien votre gaieté, combien votre candeur, De votre esprit charmant animaient la douceur. Quel bonheur c'eût été de voir votre âme tendre S'émouvoir aux discours qu'elle daignait entendre ; Quel bonheur de sentir votre charmante main Trembler, quand mon aveu sollicitait le sien. Si parfois un billet, d'écriture ignorée, M'arrive, en le voyant, bien fort mon c½ur battra, Et l'espoir, un instant, dans mon sein rentrera. Puis, d'erreur en erreur, et d'année en année, Je perdrai cet espoir, faible, mais consolant, Et je retomberai dans mon triste néant. Pierre Grolier. Réponse ci-dessus postée le mercredi 19 juillet 2017 : 13:41 https://youtu.be/MVsZf-0DwiY nostalgie j ai donne j ai pratique j ai connu sans regretsRéponse ci-dessus postée le mercredi 19 juillet 2017 : 13:50 [url][https://www.youtube.com/watch?v=6DSprOcsyVM/url ]Réponse ci-dessus postée le mercredi 19 juillet 2017 : 14:08
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Réponse ci-dessus postée le vendredi 21 juillet 2017 : 15:52
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Réponse ci-dessus postée le vendredi 21 juillet 2017 : 15:56 La vie n'est pas toujours facile. Recueil : Libre de penser (2001) Libre de penser, de rire et d'aimer, Profiter des secondes de bonheur, De paix, de joie et savoir décider, Sans aucune crainte et sans peur : Savoir dire non, oser et choisir, Construire, entreprendre et bâtir. Il suffit de si peu de chose, Un peu de courage si j'ose. La vie n'est pas toujours facile, Mais il suffit de redresser la tête, D'affronter certaines adversités, Avec beaucoup de sincérité. Suivre son c½ur, ses pensées, Ses choix et ses propres idées. C'est alors et seulement ainsi, Que l'on devient acteur de sa vie. Il faut dans la vie savoir aussi, Tendre la main à qui en a besoin, Sans espérer un retour... ni rien, Juste se dire que c'était bien. Alors s'installe l'harmonie avec soi-même, Et ainsi le monde parait presque parfait ! Maxalexis Le droit d'auteurRéponse ci-dessus postée le vendredi 21 juillet 2017 : 16:22 BONJOUR DEPUIS UN MOMENT JE POSE DES POEMES ET AUTRES SUR CE POST J AIMERAIS SAVOIR SI CELA EST APPRECIE OU PAS ,,, MERCI DE VOTRE REPONSERéponse ci-dessus postée le mardi 25 juillet 2017 : 16:28
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chanson qui a plus de 40 ans toujours en curs
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